Auteur, Compositeur, Interprète
Pays : France
BERNARD
Michèle
Saltimbanque,
théâtreuse, folle de chanson, Michèle Bernard ne se déplace jamais en scène sans sa
troupe, musiciens, chœur de femmes, fans, metteur en scène ou orchestre forain, qui
l'accompagnent à l'ombre des poètes, des philosophes dont elle nourrit ses
compositions. Michèle Bernard joue de l'accordéon, instrument faussement simple. De
la même manière, elle bâtit des chansons philosophiques aux allures de rengaine
populaire, faciles à chanter, tombées dans l'oreille à la première note de tant
de classicisme. Ainsi suivrons-nous la saga du pyjama, -la vie douce, celle de
l'enfant, -la mort, celle du déporté, du vieillard ou du souffrant, ainsi
sommes-nous appelés à réfléchir sans y prendre garde sur nos peurs, celles que
l'on compense en s'armant de gris-gris anti-grisaille, ou la subtile similitude
entre les vieux et les enfants. Atypique, selon les critères en vogue dans la chanson et
le rock contemporain, mais totalement française dans son réalisme décalé, Michèle
Bernard soigne l'interprétation, décline en finesse les secrets d'une alchimie
musicale où entrent en lice l'orgue de Barbarie, la clarinette de foire, le
violoncelle, le piston...
Le
style Bernard' se définit par un éclectisme rigoureux. C'est après un
voyage en profondeur dans les arts de la scène que Michèle Bernard a choisi la chanson :
née à Lyon, elle y a suivi le cursus du Conservatoire d'Art Dramatique, puis les
destinées du Théâtre des jeunes années de Lyon, de la Compagnie de la satire ou des
mulets. Des récitals, Michèle Bernard en a donnés des centaines à travers la France et
à l'étranger depuis 1978, où elle bouscule les habitudes de la variété en
s'engageant dans la réhabilitation de la chanson française ...
BERNARD
Michèle
Saltimbanque,
théâtreuse, folle de chanson, Michèle Bernard ne se déplace jamais en scène sans sa
troupe, musiciens, chœur de femmes, fans, metteur en scène ou orchestre forain, qui
l'accompagnent à l'ombre des poètes, des philosophes dont elle nourrit ses
compositions. Michèle Bernard joue de l'accordéon, instrument faussement simple. De
la même manière, elle bâtit des chansons philosophiques aux allures de rengaine
populaire, faciles à chanter, tombées dans l'oreille à la première note de tant
de classicisme. Ainsi suivrons-nous la saga du pyjama, -la vie douce, celle de
l'enfant, -la mort, celle du déporté, du vieillard ou du souffrant, ainsi
sommes-nous appelés à réfléchir sans y prendre garde sur nos peurs, celles que
l'on compense en s'armant de gris-gris anti-grisaille, ou la subtile similitude
entre les vieux et les enfants. Atypique, selon les critères en vogue dans la chanson et
le rock contemporain, mais totalement française dans son réalisme décalé, Michèle
Bernard soigne l'interprétation, décline en finesse les secrets d'une alchimie
musicale où entrent en lice l'orgue de Barbarie, la clarinette de foire, le
violoncelle, le piston...
Le
style Bernard' se définit par un éclectisme rigoureux. C'est après un
voyage en profondeur dans les arts de la scène que Michèle Bernard a choisi la chanson :
née à Lyon, elle y a suivi le cursus du Conservatoire d'Art Dramatique, puis les
destinées du Théâtre des jeunes années de Lyon, de la Compagnie de la satire ou des
mulets. Des récitals, Michèle Bernard en a donnés des centaines à travers la France et
à l'étranger depuis 1978, où elle bouscule les habitudes de la variété en
s'engageant dans la réhabilitation de la chanson française aux côtés des
animateurs du Printemps de Bourges, où elle se produit à plusieurs reprises. Michèle
Bernard compose des musiques de cinéma, de télévision, de théâtre. Elle
s'attache à mettre en scène ses spectacles, battant en brèche l'idée
qu'une chanson et une voix se suffisent à elles-mêmes. Comédie, drame, jeux de
lumières et d'humains, les spectacles de Michèle Bernard visent à
l'enchantement. De 1989 à 1991, elle parcourt les théâtres et les salles de
spectacles avec Diva's Blues, mis en scène par Vincent Colin, puis elle se livre
deux ans durant à un incroyable voyage musical pour chanteuse, chœur de femmes et
petit orchestre forain : Des nuits noires de monde, avant de tenir le rôle de Flonflon
dans une comédie musicale signée Anne Sylvestre et mise en scène par Viviane
Théophilidès, Lala et Le cirque du vent.
Militante
inlassable de la chanson, Michèle Bernard ne néglige jamais la base (les Ateliers
chanson de Villeurbanne, où elle crée en 1985 L'homme qui fait les cent pas, les
sessions de formation dans les écoles, les stages et les festivals dans son village de
saint Julien Molin Molette où elle anime l'association « Musiques à l'usine
», les chorales - pour les rencontres chorales d'enfants de la Région Provence
Alpes Côte d'Azur, elle écrit en 1996 les chansons « Le prince de Motordu » sur
un livre de PEF).
« Quand
vous me rendez visite » est son troisième album original, publié après cinq 33 tours
et deux Grands Prix de l'Académie Charles Cros.
Elle
revient avec son accordéon, sa voix de chanteuse réaliste et vingt nouvelles chansons en
forme de contes légers-graves, dans le décor de hangar philosophique du Café de la
Danse où elle avait séduit le public parisien par les clairs-obscurs de ses Nuits noires
de monde. Elle sera accompagnée par une formation musicale toute nouvelle avec Jean-Luc
Michel (piano), Laurent Sarrien (batterie et vibraphone), et Jean-François Baez
(accordéon).
www.musiqueenligne.com